Chers amis,

En ces temps difficiles il s’agit de résister de toutes les manières possibles à la psychose entretenue par les medias assujettis à la propagande mensongère des autorités.

La censure est puissante et seul internet nous permet partiellement de la contourner.

L’émission du jeudi soir L’INFO EN QUESTION a été arrêtée après le 95ème épisode. Toute l’équipe a choisi d’avancer sur d’autres voies plus centrées sur l’action que sur l’information. Mais ces émissions peuvent toujours être vues sur le site santeglobale.world, avec le texte écrit de chacune, ce qui facilite les recherches. Je tiens à dire toute ma gratitude à Jean-Jacques Crévecoeur , l’initiateur de cette émission, ainsi qu’à tous ceux qui l’on animée : Chloé Frammery, Salim Laibi, Sophie Meulemans, Muriel Hubin, Senta Depuydt et tous les magnifiques invités qui ont participé à cette grande aventure !

Voici maintenant  un lot de ces informations importantes pour votre santé et celle de vos enfants, ces informations que les medias font tout pour que vous ne puissiez jamais les voir !

Bonne lecture !

Le film “Hold On” en accès libre pour alerter contre la vaccination …

FranceSoir › societe-sante › le-film-hold-on-propose-en-acces-libre

blog60a

Hold On“, le documentaire qui prend la suite de “Hold Up”, sorti l’année dernière, a été diffusé en libre accès sur toutes les plateformes ne censurant pas

L’équipe de “Hold On”, Citizen Light, qui a produit et réalisé ce deuxième volet a annoncé le partager gratuitement, pour s’opposer à “la vaccination des enfants de 5 ans qui a déjà commencé”. Ce collectif de journalistes ayant travaillé dans les “grands médias”, entend lutter contre cette politique, grâce à l’information : “le but de cette décision est d’alerter le plus grand nombre sur les dangers de ces injections expérimentales”, nous confie Pierre Barnérias,

S’attaquer aux plus jeunes a été le déclencheur pour ce journaliste : “la vaccination des enfants a toujours été pour moi la ligne rouge à ne surtout pas franchir”, explique-t-il.

https://citizen-v.wetransfer.com/downloads/bf56dfa9294aac66af688bc35b4f786320220112183606/11f5ba

VS : Élection 2022, l’arnaque Macron.

Mon avis sur l’arnaque de ce pantin de Davos.

Vivresainement

https://wp.me/pbYbqw-AmI

Macron, la Bête est là : entretien avec Pierre Hillard – Egalite et Réconciliation

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Macron-la-Bete-est-la-entretien-avec-Pierre-Hillard-67880.html

Un entretien important qui montre le grand jeu du Nouvel Ordre Mondial qui cherche à mettre les êtres humains en « esclavage numérique »

Les 1300 maladies causées par les Vaxx selon Pfizer !

https://vk.com/phoenixcoeur?z=video518677963_456247427%2F7c7b7f83134ccbefc8%2Fpl_post_518677963_34184

Sur le net :USA : Les premières compagnies d’assurance font marche arrière, car une énorme vague de dommages les attend.

Anthony Fauci confirme que le test PCR ne permet pas de détecter les virus vivants.
Anthony Fauci confirme que ni le test antigène, ni le test PCR ne permettent de dire si quelqu’un est contagieux ou non !!!
Tous les fondements de la soi-disant pandémie sont donc caducs.
Le test PCR était le seul indice d’une pandémie
Sans test PCR, pas de pandémie
Pour tous les collaborateurs de la presse, les médecins, les avocats, les procureurs, etc. C’est la dernière clé, la preuve ultime que toutes les mesures doivent être levées immédiatement.

Sur le net : Le Dr Geert Vanden Bossche: ” Ce à quoi nous assistons maintenant, c’est un nombre croissant de personnes vaccinées qui propagent le virus … Nous avons donc transformé les vaccinés en propagateurs asymptomatiques”

FRANCE SOIR : EN ALLEMAGNELA VERITE SE MONTRE ENFIN !

https://www.francesoir.fr/societe-sante/effets-secondaires-des-vaccins-allemagne

Plus-de-1000-sportifs-de-haut-niveau-victimes-daccidents-graves-ou-mortels-dans-un-regime-de-vaccination-massive-contre-le-covid-19/

https://reseauinternational.net/plus-de-1000-sportifs-de-haut-niveau-victimes-daccidents-graves-ou-mortels-dans-un-regime-de-vaccination-massive-contre-le-covid-19

769 athlètes ont fait un malaise pendant les matchs l’année dernière : « l’âge moyen de l’arrêt cardiaque est de 23 ans »

Des pics énormes du nombre d’athlètes s’effondrant pendant les matchs ont été observés dans les sports du monde entier.

Un nombre anormalement élevé de matchs ont été interrompus en raison de l’évanouissement soudain de joueurs, dont beaucoup se tenaient la poitrine à l’agonie, incapables de respirer en raison de troubles cardiaques soudains.

Cette vague stupéfiante de problèmes cardiaques est sans précédent parmi des groupes de personnes en aussi bonne santé.

Jamais auparavant nous n’avions vu de jeunes athlètes de classe mondiale, en bonne santé, souffrir de problèmes cardiaques en masse comme cela.

Cela ne s’est jamais produit, jamais.

En outre, le moment choisi pour ce phénomène ne pourrait pas être plus pertinent.

En décembre, près de 300 athlètes se seraient effondrés ou auraient fait des arrêts cardiaques après avoir pris les vaccins COVID.

Selon un nouveau rapport explosif de l’OAN, le nombre d’athlètes touchés se compte en centaines.

En tout, l’enquête de l’OAN a révélé que 769 hommes et femmes ont fait des malaises cardiaques en compétition au cours de l’année écoulée (entre mars 2021 et mars 2022).

Le plus choquant est que l’âge moyen des personnes ayant subi un arrêt cardiaque complet était de 23 ans seulement.

Le rapport de l’OAN soulève des questions sur le timing de ce problème jamais vu chez des athlètes en bonne santé et sur la pression universelle pour les vaccins Covid.

https://www.anguillesousroche.com/videos/769-athletes-ont-fait-un-malaise-pendant-les-matchs-lannee-derniere-lage-moyen-de-larret-cardiaque-est-de-23-ans/

Les autopsies confirment : Les empreintes digitales du vaccin sont partout dans l’organisme

Dr McCullough : “Nous savons maintenant que chez les personnes qui ont été autopsiées après avoir été vaccinées [ou] peu de temps après avoir été vaccinées… nous pouvons voir l’empreinte du vaccin partout dans le corps. Elle est dans le cerveau, dans le cœur. Elle est dans la moelle osseuse ; elle est dans les organes reproducteurs et les ganglions lymphatiques… Nous n’avions jamais eu de vaccin qui aille dans le cerveau humain… Nous n’avions jamais eu un vaccin qui aille dans le cœur humain. Et donc rien que ces observations sont très déconcertantes.

https://t.me/jimcanal/17258

Le Malade imaginaire reflète notre époque

 Journaliste et écrivain, passionné d’histoire comme de sciences, Marc Menant se définit comme un «orphelin idéologique» épris de liberté. À rebours d’un consensus médiatique sur les thématiques relatives à la Covid-19, le chroniqueur connu pour ses talents de conteur, en refusant et en questionnant les injonctions sanitaires du gouvernement, s’est vite démarqué de ses confrères. Dans le cadre d’un «Défi de la vérité», nous l’avons reçu pour qu’il nous présente son dernier ouvrage, qui vient de paraitre : L’inquiétante histoire des vaccins (Plon). Tel un détective, l’écrivain, qui anime sur CNews l’émission «La belle histoire de France», explore ici l’histoire de la médecine pour mieux en dénoncer ses travers, ses erreurs, ses impostures, certaines fermement établies, à commencer par celle du mythique Pasteur.

Dans cet entretien, Marc Menant commence par dénoncer cette « médecine qui, dans sa toute-puissance, estime que le savoir qui est le sien est une vérité indubitable, une parole magistère », avant de s’attaquer au cursus universitaire des étudiants en médecine, dont il pointe les lacunes. D’une part, l’absence de réflexion critique sur les enseignements : « Quand on est étudiant en médecine, il y a tellement à apprendre qu’on n’a pas l’opportunité de s’interroger sur ce qui vous est proposé comme enseignement. Vous êtes obligés de l’imbiber et puis de recracher ce qu’on vous a demandé. Donc on a éteint le libre arbitre », regrette le journaliste. D’autre part, le contenu des programmes. L’exemple le plus patent qu’il reprend : la quasi-absence de formation en nutrition. « Or, vous ne connaissez pas un membre médical sérieux qui vous ne vous dira pas : “Ce que vous mangez pourra éventuellement vous conduire à la maladie” », s’étonne-t-il.

Marc Menant s’attelle ensuite à battre en brèche le dogme de la «vaccination qui sauve», idée préconçue souvent traduite par : « Si on avait eu le vaccin, on n’aurait pas eu la peste noire ». Pour étayer sa démonstration, après avoir rappelé que la vaccination anti-Covid n’a pas permis pas d’enrayer la transmission du virus, l’écrivain explique avoir œuvré à reconstituer le mode de vie de nos ancêtres en 1347, date à laquelle la peste bubonique sévit.

Selon lui, les millions de victimes de cette pandémie ont avant tout été causées par des conditions de vie « épouvantables », aggravées par les conditions météorologiques. Pour preuve, le journaliste rapporte qu’après des semaines et des mois de recherche, il n’est pas parvenu à trouver de noms d’aristocrates décédés de la maladie, ces derniers jouissant d’une meilleure hygiène et d’un meilleur confort de vie, notamment sur le plan alimentaire. Par contraste à cette époque, chez les classes moins favorisées, « vous vivez en promiscuité avec une dizaine de personnes dans une seule pièce mal calfeutrée, vous n’avez pas d’eau courante, les excréments restent dans les pots de chambre, les puces et les rats viennent. Tout cela crée des opportunités pour qu’un certain nombre de virus vous infiltrent », explique Marc Menant qui met aussi en avant le contexte historique de l’époque marqué par le début de la guerre de cent ans.

Il poursuit plus loin sur l’homme qui a découvert le vaccin contre la rage, le légendaire Louis Pasteur. Il ne le ménage pas par ses propos : « Pasteur est la plus grande imposture dans la mesure où elle va déterminer notre fascination pour les vaccins ». Soulignant avoir pris le soin de lire les carnets du célèbre scientifique, Marc Menant soutient tout d’abord qu’à son époque, la rage « n’était pas une maladie forcément létale et elle ne touchait que peu de monde », une affirmation corroborée par Emile Roux, un des plus proches collaborateurs du pionnier de la vaccination. En deuxième lieu, le journaliste révèle que les recherches sur la vaccination se sont avérées… un « échec total ». C’est pourquoi, « pour sauver le progrès », le professeur Paul Brouardel, doyen de l’École de médecine de Paris à partir de 1886, assuma pleinement de mentir, rapporte Marc Menant, qui réitère : « Une imposture », même s’il tient à souligner qu’il fait l’effort de comprendre le désarroi de ces chercheurs pour ne pas verser dans une lecture complotiste de la situation.

S’il fait savoir qu’il faut lire son ouvrage pour « reprendre tous les rouages et comprendre les échecs successifs de la vaccination », une interview ne permettant pas tous les développements nécessaires, il évoque tout de même le cas de l’éradication de la variole. Contrairement à ce qui est laissé croire, ce n’est pas la vaccination qui a fait disparaitre la variole, explique Marc Menant, qui s’appuie sur un document de l’OMS. Selon cette source, l’éradication de la variole est attribuée à d’autres mesures, en particulier la quarantaine. « Rien ne permet de dire que le vaccin y a contribué », affirme le journaliste.

L’occasion aussi pour lui de revenir sur l’efficacité de l’immunité naturelle couplée à une bonne hygiène de vie et sur les déclarations « péremptoires » des autorités sanitaires au cours de la crise du Covid-19, dénuées de tout fondement scientifique. Par exemple, s’agissant de l’obligation du port du masque, « il suffisait d’aller sur le site de l’OMS au début de l’épidémie pour voir que les masques chirurgicaux ne servaient à rien », assène-t-il. Le journaliste insiste, par ailleurs, sur les incohérences des discours justifiant les contraintes à la vaccination, accompagnées par des politiques qui instaurent, à l’instar de la mise en œuvre du passe vaccinal, une liberté conditionnelle. Pour Marc Menant, en ignorant les capacités auto-immunes des personnes en bonne santé, on crée des « malades qui s’ignorent ». C’est pourquoi il le revendique : « Dès lors que je suis touché dans ma liberté, je m’interroge sur la légitimité (de ces injonctions). »

Youtube : Effets indésirables des vaccins : « Je n’ai jamais vu ça ! », affirme Me Diane Protat

DRAMATIQUE ! LES FEMMES SONT VICTIMES DES INJECTIONS AVEC DES EFFETS SECONDAIRES GRAVISSIMES !!

Les génocidaires sont en pleine action et les femmes en souffrent de manière terrible !

Me PROTAT : « La réalité, je la constate, il n’est pas croyable que des centaines de personnes appellent à mon cabinet pour essayer d’engager une procédure judiciaire afin de faire reconnaître des effets indésirables. Je ne comprends pas que les autorités judiciaires et médicales restent sourdes à cet appel.

MEDICAMENTS CHIMIQUES ET CERVEAU

Jean-Marc Dupuis – Santé Nature Innovation

Une des plus grandes fables de notre époque, et sans doute la plus dangereuse :

Les maladies de l’esprit (dépression, anxiété, psychoses…) seraient causées par des problèmes chimiques dans le cerveau.

Selon cette théorie, aujourd’hui discréditée par la Science, votre cerveau manquerait d’un « neurotransmetteur », un produit chimique qui permet aux neurones de communiquer.

Vous vivez tranquillement. Votre cerveau tourne comme un bon moteur bien réglé.

Et voilà qu’un jour : paf ! Plus d’essence, ou plus d’huile. Votre cerveau ralentit, tousse, crache. C’est la dépression. Ou la crise d’angoisse. Ou la schizophrénie (vous avez des visions, des voix…)

Le médecin accourt.

De sa trousse à pharmacie, il sort des pilules pour vous remettre d’aplomb. Comme s’il vous remettait du diesel, du liquide de frein, ou du lave-glace, il vous remet à niveau.

Il ré-équilibre votre niveau en « sérotonine », en « dopamine », en « norépinéphrine », ou encore en « acétylcholine ». Elémentaire, mon cher Watson !

Chacun, à ces mots, se rengorge. « Comme l’humanité a progressé ! » ; « La Médecine est vraiment devenue une science exacte ! » ; « Comme nous employons des mots compliqués ! » ; « Comme nous sommes devenus savants ! »

Mais au fond de nous-mêmes, cher lecteur, nous le savons (et nos médecins le savent aussi) :

Nous n’avons pas la moindre idée de ce qu’est la « sérotonine ». Nous ne savons même pas d’où vient la dépression.

Le mot « dépression » est tout nouveau à l’échelle de l’histoire de l’humanité. Il a été appliqué pour la première fois à la médecine en 1856 ! [1]

Rappelez-vous, 1856…

C’était la grande époque des machines à vapeur, des locomotives, de Jules Verne…

C’est là qu’on s’est mis à comparer le corps humain à une machine avec ses valves, ses pistons, ses pressions et ses… dépressions.

On croyait qu’on allait tout résoudre ainsi.

Comme pour une locomotive !

La pression baisse, la machine ralentit. Pour la relancer, il suffit de « remettre la pression », et c’est aussi simple que d’envoyer quelques pelles de charbon dans le four à combustion !

Mais bien sûr, cette vision simpliste, enfantine même, est aujourd’hui dépassée.

Plus on a disséqué le corps, plus les microscopes ont permis de voir petit, plus on s’est rendu compte de l’infinie complexité du corps humain, et tout particulièrement du cerveau.

« Le cerveau est l’objet le plus complexe de l’Univers », sait-on maintenant. [2]

Et il est bien illusoire – et prétentieux – d’imaginer qu’on peut l’améliorer ou le réparer par une simple pilule, fut-elle de sérotonine ou de dopamine.

Il est désormais admis par tous les psychiatres sérieux que cette histoire de « déséquilibre chimique » dans le cerveau est un mythe, une « légende ».

« Légende », c’est le mot de Ronald Pies, rédacteur en chef de la revue scientifique Psychiatric Times, qui publiait le 11 juillet 2011 un article intitulé :

« Le nouveau cerveau-esprit de la psychiatrie et la légende du déséquilibre chimique dans le cerveau ». [3]

En 2014, Peter Gotzsche, co-fondateur de la collaboration Cochrane, un réseau international de chercheurs connus pour leurs études rigoureuses des risques et bienfaits des traitements médicaux, écrivait :

« Les théories selon lesquelles les patients dépressifs manquent de sérotonine, et les patients schizophrènes ont un excès de dopamine, ont été réfutées depuis longtemps. La vérité est exactement l’inverse. Il n’y a aucun déséquilibre chimique à la base, mais, en traitant ces maladies avec des médicaments, on crée un déséquilibre chimique. » [4]

Ou encore :

« L’analyse des données médicales publiées et non publiées parce que cachées par l’industrie pharmaceutique a révélé que la plupart (si non tous) les bienfaits des antidépresseurs sont dus à l’effet placebo », selon Irving Kirsch dans la revue allemande de Psychiatrie en 2014. [5]

Aujourd’hui, l’Organisation Mondiale de la Santé dit la même chose. Le Paxil (un médicament similaire au Prozac) « n’est pas supérieur à un placebo en terme d’efficacité du traitement » chez les personnes souffrant de dépression modérée ou grave. [6]

Une très célèbre étude allemande a montré en 2002 que 25 % des patients dépressifs traités au Zoloft (un autre antidépresseur très populaire) connaissent une « guérison totale », ce qui est inférieur au taux de guérison dans le groupe placebo, qui est à 32 % ! [7]

Et pourtant, quinze ans plus tard, cela n’a quasiment rien changé à la pratique médicale.

Comme un TGV roulant à 300 km/h, la médecine n’a pas dévié d’un pouce dans son usage des médicaments psychiatriques.

Des centaines de milliers de médecins, et des dizaines de millions de patients, continuent à prescrire et à prendre religieusement leurs médicaments psychiatriques (antidépresseurs, anxiolytiques, stimulants, antipsychotiques…) avec la conviction de « corriger un problème chimique » dans le cerveau.

Cette prétendue « solution » est proposée pour tous les problèmes allant de la fatigue au licenciement, en passant par la séparation, le deuil, les conflits familiaux, l’échec scolaire, les accès de panique, les crises d’angoisse, ou les voix et les visions.

Mais non !

Pas plus qu’il y a cent ans, nous ne savons ce qui cause ces états bizarres dans le cerveau. Pourquoi certains d’entre nous sont-ils si tristes ? Angoissés ? Excités ? Pourquoi certains se mettent-ils à pousser des cris de bête, ou à voir des loups autour d’eux ?

En revanche, si nous ne savons toujours pas pourquoi le cerveau se détraque, ni comment le réparer, il est certain que nous sommes parfaitement capables de le détruire, que ce soit de façon chirurgicale, ou avec des drogues licites ou illicites !

Jamais nous n’avons été aussi forts dans ce domaine.

Cette fois, on peut vous écrire des manuels, des encyclopédies, sur tous les moyens d’intoxiquer votre cerveau, de le ratatiner, de perdre des points de quotient intellectuel comme de quotient émotionnel

C’est le supermarché des « solutions » :

  • Au rayon « interdit par la loi », vous avez la cocaïne, le crack, l’héroïne, le cannabis…
  • Au rayon « vendu en pharmacie », vous avez le lithium, la chlorpromazine, le Prozac et le Valium…
  • Au rayon « se trouve dans la rue ou dans l’eau du robinet », vous avez les métaux lourds, le glyphosate (Round Up), les toxines diverses et variées sorties des moteurs d’avion et de voiture…

Bref, nous sommes très forts pour nous intoxiquer nous-mêmes, à défaut d’avoir découvert la pilule pour, enfin, vivre heureux et équilibrés.

Or, les conséquences sont graves : on parle de suicides, de dépression profonde, mais aussi de handicaps physiques en tout genre, tics nerveux irrépressibles (la langue qui entre et sort mécaniquement de la bouche en permanence, ce qu’on appelle la dyskinésie tardive), voire crime, assassinat de masse, etc.

Car sous l’effet des médicaments psychiatriques, le cerveau se ratatine. Cela provoque une baisse de l’intelligence, de la mémoire, et perte de contrôle émotionnel et perte de contrôle de certains mouvements (ce qui produit les tics nerveux irrépressibles et les fameux TOC, troubles obsessionnels compulsifs).

Tous les médicaments psychiatriques fonctionnent en « désactivant » le cerveau

Ce message à faire passer partout autour de vous parce qu’il explique le fonctionnement de base de tous les médicaments psychiatriques, y compris les anti-dépresseurs, les anti-psychotiques, les anxiolytiques et même les somnifères.

Ce fonctionnement de base est très simple.

Tout le monde peut le comprendre même sans avoir fait médecine.

Mais une fois qu’on le sait, on a compris une chose très importante, qui permet d’éviter de tragiques erreurs, et de lourdes conséquences.

Ce fonctionnement, c’est tout simplement que tous les médicaments psychiatriques désactivent, puis détruisent, des fonctions essentielles du cerveau.

Aucun de ces médicaments ne traite ni ne guérit une maladie. Ils sont en ce sens complètement différents des autres médicaments utilisés par la médecine.

Quand on considère qu’ils « marchent » ou qu’ils ont un effet « thérapeutique », c’est parce qu’on estime que la personne qui a ainsi perdu une partie de ses capacités est moins gênante, plus facile à gérer, plus facile à intégrer socialement, moins dangereuse pour elle-même et pour les autres.

Par exemple, les médicaments antipsychotiques fonctionnent en « déconnectant » le cerveau. Vos pensées sont brouillées, vous tombez dans l’apathie, vous avez envie de vous recroqueviller dans un coin et de ne plus bouger.

A l’échelle individuelle, cela ne paraît pas être un progrès. C’est pourquoi la plupart des patients psychotiques cherchent à éviter leur traitement.

Mais pour le médecin, le personnel soignant, l’entourage, ces effets peuvent être perçus comme positifs ! Rendez-vous compte : la personne cesse de crier, s’énerver, provoquer du bruit et de la fureur autour d’elle. Elle devient docile et n’exprime plus d’émotion. C’est la « camisole chimique » ou même la « lobotomie chimique ». On obtient le même effet sans le spectacle éprouvant et culpabilisant de voir la personne attachée.

Avec ce médicament, la personne a aussi son cerveau abîmé ? Elle perd une partie de sa capacité d’agir ? Son état se rapproche de celui d’un animal, voire d’un légume ? « Oui, sans doute, mais vous comprenez, la vie n’était plus tenable autrement ; et elle devenait dangereuse pour les autres et pour elle-même… »

Je ne dis pas qu’il ne soit jamais justifié de donner ces médicaments. Mais il est crucial de ne pas mentir aux patients ni à leur famille. Il ne faut pas leur faire croire qu’on est en train de guérir la maladie, ni de « rétablir » un quelconque déséquilibre chimique qui s’était fait dans le cerveau.

Non, on est en train de l’abrutir comme un abrutirait un rhinocéros qu’on cherche à capturer vivant. D’ailleurs, ce sont exactement ces médicaments qui sont utilisés.

Et bien sûr ce genre de traitement, répété, finit par détruire le cerveau de la personne de façon irréversible, provoquant une multitude de problèmes terribles : problèmes cardiovascuaires, respiratoires, métaboliques (obésité, diabète), insuffisance rénale, mort précoce (j’y reviendrai). Il faut avoir le courage et l’honnêteté de le faire savoir, sans faux-semblants.

La même « logique » est à l’œuvre avec les autres médicaments psychiatriques :

Vous pouvez, avec les médicaments anxiolytiques (qui suppriment l’angoisse), traverser la rue et voir un camion foncer sur vous sans que cela ne vous fasse bondir le cœur ni même accélérer le pas.

Avec des antipsychotiques, vous pouvez assister à un meurtre barbare sans éprouver la moindre compassion pour la victime, ni même avoir l’idée d’appeler la police.

C’est le prix à payer lorsque vous souhaitez faire taire vos émotions. Vous pouvez désactiver une partie de votre cerveau. Mais le côté utile de ces émotions ou de ces fonctions disparaît autant que le côté gênant. Vous ne pouvez pas avoir l’un sans l’autre.

Je me répète, mais c’est important : tous les médicaments psychiatriques fonctionnent de la même façon : ils désactivent certaines parties du cerveau, permettant de trouver l’effet recherché : docilité, passivité, indifférence à son propre sort et à celui des autres, absence d’émotion, anesthésie, comportement de robot, réticence face à la détresse des autres.

Les médicaments antipsychotiques, aussi appelés neuroleptiques, fonctionnent tous en bloquant la dopamine (à l’exception de la clozapine). Ils servent à supprimer les psychoses, hallucinations et illusions chez les personnes schizophrènes.

Ces médicaments furent utilisés pour la première fois dans les années 50 par deux médecins français, les Dr Delay et Dr Deniker.

Ces médecins n’ont jamais prétendu avoir trouvé un « traitement » contre la schizophrénie.

Ils déclarèrent seulement avoir trouvé une substance ayant le même effet qu’une maladie du cerveau bien connue, l’encéphalite léthargique. Cette maladie provoque un handicap mental permanent : les personnes, comme le nom de la maladie l’indique, deviennent léthargiques et indifférentes à elles-mêmes et à leur entourage. C’est pourquoi ils avaient appelé ces substances « neuroleptiques », c’est-à-dire « qui affaiblissent les neurones ».

Ce ne fut que dans les années 60 que ces médicaments furent re-baptisés « antipsychotiques » par la presse et l’industrie pharmaceutiques, dans un but purement marketing.

Aujourd’hui, les antipsychotiques sont utilisés à grande échelle dans les maisons de retraite, les prisons, les centres éducatifs fermés, pour des raisons évidentes. Ils sont aussi utilisés par les vétérinaires pour contrôler les animaux.

Ces médicaments provoquent la maladie de Parkinson, pour la simple raison qu’ils bloquent l’action de la dopamine dans le cerveau et que la maladie de Parkinson elle-même est causée par le manque de dopamine.

Mais ils provoquent aussi une grave maladie appelée « dyskinésie tardive » : des tics nerveux incontrôlables, comme par exemple la langue qui entre et sort mécaniquement dans la bouche. Ils contribuent donc de façon dramatique à l’isolement social des personnes ainsi médicamentées, et dont le grand public imagine trop souvent que c’est leur « maladie mentale » qui provoque ces bizarreries de comportement.

Non, ce sont les médicaments qui sont les vrais coupables, et ces problèmes sont malheureusement souvent définitifs, même en cas d’arrêt du traitement. Cela est d’autant plus grave qu’ils touchent particulièrement les enfants, lorsqu’ils sont soumis à ces médicaments, dont la vie est alors irrémédiablement détruite.

Dans l’ensemble, les antipsychotiques provoquent une réduction de l’espérance de vie de 10 à 15 ans, ce qui contribue aussi à expliquer leur succès dans certaines institutions.

Les médicaments stimulants comme la Ritaline, utilisée contre le « trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité » (TDAH) fonctionnent au contraire en augmentant le niveau de dopamine. Le but est d’obtenir un état d’hyper-acuité et de concentration. Le problème est que ces médicaments détruisent tout comportement spontané. Les expériences sur les singes ont montré que, aux doses utilisées sur les enfants, ils cessent de jouer, d’explorer, d’engager des relations avec les autres. Ils répètent à l’infini des gestes automatiques, ils s’isolent et regardent dans le vide.

Selon le psychiatre Peter Breggin, « les médicaments stimulants font apparemment de bons animaux en cage et ont le même effet sur les enfants. Ils arrêtent d’embêter les gens en essayant de leur parler, perdent leur spontanéité, deviennent plus dociles et finalement montrent une volonté de suivre des comportements qui, autrement, leur auraient paru sans intérêt ni signification. » [8]

Les benzodiazépines (Valium, Lexomil, Xanax, Tranxen) sont à l’origine des médicaments qui détendent les muscles (myorelaxants).

Moyennant quoi, si vous en prenez tandis que vous avez une boule d’angoisse dans la gorge ou dans le ventre, vous vous sentez détendu et vous vous endormez plus facilement. Ils ont aussi un effet hypnotique, en sur-stimulant un neurotransmetteur appelé GABA, que l’on retrouve dans tout le cerveau.

A forte dose, les benzodiazépines peuvent vous anesthésier complètement, en « débranchant » toutes les « prises » de votre cerveau. Ils ne réduisent donc pas seulement l’anxiété, c’est-à-dire notre capacité naturelle à nous faire des tracas.

Ils réduisent également toutes nos fonctions cognitives : mémoire, concentration, écoute, capacité d’apprentissage, imagination, intelligence…

Là aussi, il n’est pas honnête de ne pas le dire à un patient à qui on prescrit « un petit anxiolytique » pour traverser « une mauvaise passe » !!

Les médicaments dits « antidépresseurs » n’ont aucun impact spécifique contre la dépression. A l’origine, ce sont des produits qui déclenchent parfois un accès d’euphorie, ce qui est le stade qui précède la manie (folie).

Rappelons que les antidépresseurs furent découverts par accident en cherchant à soigner la tuberculose avec une nouvelle molécule dérivée d’un carburant de missile (l’hydrazine). La tuberculose ne fut pas soignée mais les patients, raconte la légende, se mirent à danser dans les couloirs de l’hôpital, malgré leur état grabataire.

Bien entendu, cet état d’euphorie ne dure pas. Mais au bout de plusieurs semaines, les antidépresseurs ont suffisamment perturbé le mécanisme de la sérotonine pour provoquer une confusion, et donc une certaine anesthésie, des sentiments.

Le patient ne sait plus trop ce qu’il ressent, il ne sent plus vraiment lui-même, mais ses symptômes dépressifs peuvent avoir régressé. Bien entendu, il risque alors de devenir chroniquement apathique [9] et, pire, sur le long terme, devenir définitivement triste (syndrome dysphorique). [10]

Ces médicaments provoquent une baisse du sentiment amoureux et du désir, souvent sans retour après l’arrêt du traitement. [11]

Lorsqu’ils essayent d’arrêter le traitement, le sevrage provoque des sentiments de torture émotionnelle et physique qui paraissent pires que la « maladie » qu’ils pensaient avoir au départ, et qui pousse donc beaucoup de patients à continuer à prendre des antidépresseurs sur le long terme malgré les nombreuses et très sérieuses contre-indications.

Les médicaments dits « stabilisateurs d’humeur » sont en réalité des médicaments qui suppriment l’humeur. Ils détruisent la capacité de la personne à éprouver des émotions. Le lithium, longtemps présenté comme le produit miracle pour les bipolaires, inonde en fait le cerveau de toxines qui perturbent les systèmes de neurotransmission, ainsi que la propagation des signaux électriques le long des axones (les « bras » des neurones).

Le résultat est un ralentissement mental général, qui se produit chez tous les mammifères exposés au médicament.

Il faut savoir que le lithium est un métal hautement toxique, dont les propriétés destructrices pour le cerveau sont connues depuis 1949. Il fallut des décennies aux laboratoires pharmaceutiques pour oser le proposer à la vente comme « médicament ».

On comprend que les médicaments psychiatriques ne « soignent » que dans la mesure où ils réduisent certaines capacités du cerveau jugées gênantes pour le patient ou pour son entourage.

Moyennant quoi, ils réduisent les capacités mentales et, sur le long terme, provoquent des problèmes psychiatriques qui sont pour le coup graves et définitifs.

Je n’ai pas insisté sur les nombreux effets physiques de ces médicaments : le cerveau est la « tour de contrôle » de notre corps. Il provoque nos émotions, nos pensées, mais l’essentiel de ses capacités servent à réguler, sans que nous ne nous en apercevions, le fonctionnement de nos organes, notre équilibre, notre température…

En perturbant les neurones, nous mettons aussi gravement en danger ces fonctions vitales, ce qui réduit à grande échelle la qualité de vie, la santé et la durée de vie de millions de personnes. [12]

Avant d’aller voir le psychiatre, ou d’envoyer un proche chez le psychiatre, assurez-vous d’avoir affaire à un problème réel et qui ne passera pas tout seul.

Souvenez-vous que nous sommes programmés pour nous faire du souci.

C’est une fonction essentielle de l’être humain qui augmente ainsi ses chances de survie, car cela le pousse à faire attention, à agir, à anticiper.

Mais tout cela ne signifie pas que vous êtes malade.

Vous êtes un être humain, tout simplement ! Et donc vous êtes parfois triste ou très triste, angoissé ou très angoissé. Et les souffrances morales peuvent être pires que les souffrances physiques.

C’est désagréable, car ces souffrances, à leur tour, peuvent empêcher de dormir. Le manque de sommeil nous cause d’autres problèmes (baisse d’énergie, concentration, mal de crâne, moral dans les chaussettes…)

La vie est dure. Plus les années passent, plus nous avons d’occasions d’avoir connu des accidents, des décès, et d’avoir des remords, des déceptions, des désillusions.

Il y a des coups de malchance, des événements graves qui nous retournent, nous détruisent, et la seule façon de les surmonter est de lire des livres d’Histoire et de sagesse, qui nous rappellent que l’humanité souffre beaucoup depuis son origine et que nous ne sommes malheureusement pas une exception.

Mais rassurons-nous : même si nous sommes totalement déprimé, même si nous avons l’impression d’être « au bout du rouleau », de n’avoir plus aucune chance de « rebondir », l’expérience montre au contraire qu’il est tout-à-fait probable que les choses finissent par rentrer dans l’ordre.

Une étude faite en 1997 en Grande-Bretagne, Pays-Bas et Canada par des chercheurs anglais a montré que, sans aucun médicament, les symptômes de dépression régressent au bout de six mois chez 62 % des patients (contre 33 % chez ceux qui prennent des médicaments). [13]

Une étude réalisée par des chercheurs hollandais a observé que 76 % des dépressifs qui ne prennent pas de traitement se remettent et ne retombent jamais en dépression (contre 50 % de ceux qui prennent des médicaments). [14]

Une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé dans quinze grandes villes du monde a constaté que les patients qui ne prennent pas de traitement contre la dépression ont les meilleures chances de s’en sortir. Elle a notamment critiqué le « cliché » trop souvent répété selon lequel il serait « dangereux » de ne pas diagnostiquer et traiter la dépression, parce que supposément le patient risquerait plus de connaître des conséquences graves dans sa vie :

«  L’étude n’appuie pas l’opinion selon laquelle la non-reconnaissance de la dépression a des conséquences néfastes pour les malades », ont écrit les chercheurs. [15]

Plus rare, mais tout aussi important :

Si vous constatez d’authentiques troubles psychiatriques, chez vous ou un proche, du type hallucination, illusions, voix, etc. Ne vous inquiétez toujours pas !! C’est un phénomène qui a toujours existé chez certaines personnes et qui, dans 4 cas sur 5, disparaît de lui-même.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, ne tombez pas dans le fatalisme, ne vous persuadez pas que vous allez forcément rester comme ça, connaître une aggravation de vos symptômes, et finir à l’asile.

De très sérieuses expériences ont lieu actuellement en Finlande, et dans certaines cliniques aux Etats-Unis, où on traite ces personnes sans médicaments antipsychotiques, par l’accompagnement, les activités apaisantes, le contact avec la nature, l’environnement social…

Au fond, ce n’est ni plus ni moins que la façon dont ces personnes étaient traitées autrefois. On les appelait des « mystiques », on s’émerveillait qu’elles soient en contact avec « les esprits », ou les « dieux ». On ne les bourrait pas de médicaments à la première crise ! Et dans la plupart des cas, la crise s’apaisait… et passait.

Tous les cas, bien sûr, ne peuvent être minimisés. Les psychiatres doivent rester un recours en cas de danger ou de problème « grave ». Mais il faut que, vraiment, le problème soit « grave », et c’est un peu la question aujourd’hui quand on sait que les médicaments psychiatriques sont devenus de loin la première source de revenu pour l’industrie pharmaceutique :

88,3 milliards de dollars en 2015 ! [16]

Sources:

[1] Le mot apparaît pour la première fois dans l’usage médical chez le psychiatre français Louis Delasiauve.
[2] http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-le-cerveau-objet-le-plus-complexe-de-l-univers-38020.php
[3] R. Pies, « Psychiatry’s new brain-mind and the legend of the chemical imbalance », Psychiatric Times, 11 juillet 2011.
[4] https://davidhealy.org/psychiatry-gone-astray/
[5] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172306/
[6] C. Barbui, « Effectiveness of paroxetine in the treatment of acute major depression in adults”, Canadian Medical Association Journal, 178 (2008): 296-305.
[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11939866
[8] Peter Breggin, 2015.
[9] Marangell et al. 2003.
[10] El-Mallakh et al. 2011.
[11] Csoska et Shipko, 2006.
[12] Voir Breggin 2008a et Whitaker 2010.
[13] C. Ronalds, « Outcome of anxiety and depressive disorders in primary care, » British Journal of Psychiatry 171 (1997) : 427-33.
[14] E. Weel-Baumgarten, « Treatment of depression related to recurrence, » Journal of Clinical Pharmacy and Therapeutics 25 (2000) : 61-66.
[15] D. Goldberg, « The effect of detection and treatment of the outcome of major depression in primary care, » British Journal of General Practice 48 (1998) : 1840-44.
[16] https://www.bccresearch.com/pressroom/phm/global-market-mental-health-drugs-worth-$88.3-billion-2015

Note de TAL Lisez mon livre Libérez votre folie douce

et mon ebook Comment un malade mental peut sortir des griffes de la psychiatrie chimique et devenir thérapeute . Vous y trouverez des raisons d’espérer et de se délivrer de la « folie chimique » de notre époque déboussolée et soumises aux diktats anti-vie de Big Pharma qui, pour le profit financier sacrifie des millions de gens sur l’autel d’une science sans conscience.

blogt60e

D-DIMER
du sang

Incroyable ! Personne n’en parle !!!

Le D-Dimer, c’est pour mesurer la viscosité de votre sang et voir si vous êtes en risque, voire en grand danger de faire un accident (thrombose) cérébral, cardiaque ou pulmonaire. Tous les laboratoires médicaux l’effectuent en 24 heures, et sans ordonnance. Voilà des mois que j’en parle avec insistance, mais comme ce n’est curieusement relayé que par de très rares sommités médicales (non orthodoxes), moi je suis trop petit pour que cela fasse vraiment boule de neige.

Je ne parle pas de la majorité des médecins conventionnels sous haute surveillance de l’ORDRE-GESTAPO – qui ne savent même pas que le D-Dimer existe, à quoi cela sert et comment on interprète les chiffres ! Pourtant, l’alerte a été lancée dès 2021 par divers laboratoires de recherche indépendants sérieux, dont la célèbre Quinta Columna espagnole à l’appui de multiples photos au microscope d’agglutinats sanguins généralisés chez des gens vaxxés.

Alors désolé pour ceux et celles qui ne font pas partie des shaddoks, mais je vais utiliser la méthode “bourrage de crâne” répétitif de la télé qui marche si bien…

Un miroir aux alouettes pour emmener les citoyens dans le piège final

Pendant que tout le monde continuait (et continue encore) à s’exciter sur un virus que l’on n’a jamais vu et qui est mort depuis un an et demi, ou sur ses mutants Coronas qui ont suivi, et dont la vie n’est aussi que de 70 jours, la dictature mondiale n’a cessé d’accélérer discrètement le développement des antennes 5G sur tous les sites peuplés de la planète – c’était soi-disant pour la bonne cause de l’avènement du nouveau monde de l’intelligence artificielle (la magie de Noël !!!).

Le graphène, un poison qui met votre cerveau sous cloche

  • Rappelez-vous de deux curiosités post vaxx, l’une dramatiquement impressionnante où nous a pu voir (avant censure) des gens tomber par terre aussitôt l’injection reçue, avec un tremblement de tout  le corps et des gestes incontrôlables, ceci  pouvant subsister durant plusieurs mois – c’est parce que le graphène est un super conducteur électrique pouvant créer des courts-circuits dans le système nerveux.
  • L’autre curiosité, elle amusante, où des gens vaxxés faisaient tenir les clés de voiture magnétiquement collées sur site de la piqure vaccinale – c’est parce que le graphène est supra conducteur magnétique.
  • Mais  plus inquiétant, c’est lorsque l’on sait que le cerveau contient des magnétites indispensables à son fonctionnement – or on ne s’étonnera pas d’apprendre que le graphème qui passe facilement la barrière encéphalique puisse altérer les échanges neuroniques et créer une sensation de flou mental chez de nombreux vaxxés.

Le graphène transforme votre sang en confiture

Le pire danger, c’est au niveau de l’hémoglobine du sang qui contient du fer pour le transport de l’oxygène – or ce fer s’aimante au contact du graphène et chaque cellule d’hémoglobine se polarise nord/sud – le résultat comme le montrent les photos sur microscope, est que les cellules d’hémoglobine s’accrochent magnétiquement comme les wagons d’un train, formant  de longs vers au lieu d’être dispersés dans le sang – ces vers se font des nœuds (clusters) qui risquent de faire des thromboses et bouchent progressivement les capillaires.

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Par ailleurs, les nano particules de graphène blessent les cellules d’hémoglobine, ceci mobilisant les plaquettes pour coaguler et cautériser – mais ce processus multiplié par des milliers de fois épaissit dangereusement le sang.

Témoignage d’une infirmière anesthésiste au CHU de Lille

Appel à l’établissement français du sang :

Elle signale avoir été confrontée à des situations bizarres de sang qui coagule dans la tubulure de poches, ressemblant à de la gelée de groseilles. Le centre de transfusion a confirmé ce phénomène et a déclaré qu’ils ne prélèvent plus les vaccinés !

Le graphène fait de vous une antenne GPS ambulante

Pire, voici par ailleurs ma dernière trouvaille de par la Quinta Columna, qui avait découvert il y a plusieurs mois que les injections étaient bourrées de graphème (ce qui a été corroboré depuis par d’autres laboratoires indépendants d’autres pays) :

Ceux qui sont injectés émettent une adresse MAC visible sur n’importe quel téléphone portable, quel que soit le fabricant.

Pour cela, il suffit de charger sur son portable l’application gratuite “Bluetooth scanner” (par Play Store), de l’ouvrir, d’activer le GPS du portable (accepter la géolocalisation), et “rechercher” (search) – il apparait alors des adresses MAC formées par 12 chiffres/lettres et qui ne correspondent en rien aux appareils en marche autour. Si l’on appuie sur chacune d’entre elles, on obtient même une estimation de la distance à laquelle se trouvent les personnes injectées ! Cette adresse correspond au registre de celui qui est “marqué”.
Ceci signifie que les injectés sont donc sans le savoir marquées comme du bétail et sont des antennes GPS ambulantes !

Pourquoi faire le D-Dimer de votre sang ?

Vous avez compris – si vous avez été vaxxé – que le taux de coagulation du sang est directement proportionnel à la quantité de graphène circulant. En moyenne le taux D-Dimère ne doit pas dépasser 500 unités. Plus précisément, la limite est 10 fois votre âge – il arrive que des personnes sont trouvées avec 2000, voire 5000 unités et sont simplement fatiguées. Mais sans le savoir, elles risquent “la surprise catastrophe” à tout moment !

A noter que les faux vaxxins de rappel concernant les variants coronas ne marchent pas (les analyses ont montré qu’ils ne contiennent aucune souche grippale) – ils ne servent en fait qu’à recharger votre sang en graphène pour compenser les pertes.

Pourquoi certains vaxxés ont moins de graphène que d’autre dans leur sang ?

Rappelez-vous que l’agent principal endogène de votre corps qui fait barrage au graphène et le détruit c’est le L-Glutathion qui est dans le sang. Il est une pièce maitresse de première ligne de vos défenses immunitaires. Or nous sommes loin d’être égaux à ce niveau, et c’est pour cela que certains ont besoin d’être aidés par un apport extérieur de glutathion réduit et éventuellement de NAC qui est le précurseur de la production organique interne.

Le graphène, l’indispensable partenaire de la 5G, pour prendre le contrôle de votre cerveau

Dernière cerise sur le gâteau, la société NANOGRAPHY (qui produit les vaxxins Covid intranasaux) a réglé à 1,2 nm la longueur des nanotubes du graphène injectés dans les vaxx, afin qu’il soit accordé sur la fréquence de 42,6 GHz, justement celle de la pensée humaine !

C’est le principe de la radio !

Le résultat est que par la porteuse 5G accordée à 42,6 GHz, on peut faire passer n’importe quels programmes de pensée dans le cerveau des vaxxés – et ceux-ci sont persuadés qu’ils sont générés par eux-mêmes. Ceci n’est pas pour demain : c’est déjà en cours. Et voilà pourquoi il y a autour de nous autant de gens (vaxxés) même intelligents qui en dépit de toute logique soutiennent avec fanatisme des mensonges et théories insensées issues des manipulateurs politiques malveillants qui nous gouvernent.

Inutile de discuter, vous avez à faire à de pauvres zombies 
dont le cerveau a été confisqué.

Comment couper la communication… et stopper les handicaps cités plus haut ?

Simplement éliminer votre graphène :

Là, rien de nouveau sous le soleil, retour à mon protocole antidotes comme suit :

Pour détruire le graphène

– L-GLUTATHION réduit liposomal : (pour complémenter votre glutathion endogène)

  • 2 fois 5 ml par jour pendant 15 jours

Commande :

https://fr.sanus-q.com/collections/frontpage/products/liposomal-glutathion-vanilla-apricot-250ml-bonne-sante-liposome?ref=6

et

– TM D1 d’aiguilles fraîches de pin sylvestre

  • 15 gtts avant 3 repas pendant 25 jours – arrêt 8 jours – recommencer  25 jours

Commande :

https://www.legattilier.com/pin-sylvestre-certifie-bio-demeter-np-origine-france-c2x35850743

ou

– SANCHLOR (kit pour fabriquer soi-même le dioxyde de chlore)

  • Pour démarrer, mélanger à sec 1 gtt de Sanchlor avec 1 gtt d’acide chlorhydrique et laisser 3 min (réaction chimique) avant d’ajouter de l’eau. Cà sent un peu l’eau de Javel
  • Le 2ème jour, même procédure avec 2 gtts + 2 gtts
  • Monter chaque jour de 1 gtt de chaque.
  • A 4 + 4 rester à ce dosage tout le temps.
  • En cas de légère nausée après absorption, prendre alors immédiatement ½ verre de bicarbonate de sodium (en pharm) 5 g dans 100ml d’eau.

Commande :

https://apoticaria.com/products/kit-chlorite-de-sodium-acide-chlorhydrique-100ml?ref=4

Pour fluidifier votre sang d’urgence
si votre D Dimer est hors norme :

– CITRONNIER bourgeons 1 D

  • 25 gtts + eau avant 3 repas – pendant 2 mois

Commande :

http://www.legattilier.com/Redirect.asp?AccID=124849&AdCampaignID=84227

En attendant la récolte de juin prochain de :

– CORNOUILLER SANGUIN bourgeons 1 D

  • 25 gtts + eau avant 3 repas – pendant 2 mois

+

– ALCAPHYT (bisglycinate de Mg)

  • 3 gélules par jour

Commande :

https://apoticaria.com/products/alcaphyt-eliphe-ca16?ref=4

  • NOTA 1 
    En ce moment diverses sommités médicales indépendantes disent que la plupart des trivaxxés ont leurs défenses immunitaires proches de zéro, ce qui équivaut à un terrain SIDA – Ceci ne concerne pas l’oxyde de graphène mais la protéine spike qui est associée et dont j’ai déjà parlé. 
  • NOTA 2
    Les Vaxx ARNm sont censés pouvoir modifier le génome de l’ADN via l’ARN  – La question  est de savoir si l’on peut revenir au code initial.
  • Dans ma boite à outils j’ai un  produit pour ADN endommagé :

– PHYCOCYANINE

  • 1 ampoule au lever

Commande :

https://apoticaria.com/products/phycocyanine?ref=4

Mais je n’ai pas eu l’occasion de l’essayer sur les  vaxx ARNm

Ne vous laissez pas aller à la fatalité,
Tout problème cache une solution

LES CHIFFRES DE LA FOLIE VACCINALE AUX USA :!

 https://healthimpactnews.com/2022/4023-fetal-deaths-now-recorded-in-vaers-following-covid-19-vaccines-as-us-appeals-court-reinstates-vaccine-mandate-for-federal-workers/

Comme on peut le voir sur les graphiques tirés du VAERS, le vaccin Pfizer COVID-19 a enregistré le plus de cas de décès fœtaux après avoir été injecté à des femmes enceintes et en âge de procréer que tout autre vaccin dans l’histoire des États-Unis avec 3 134 morts, et cela a été accompli en seulement 16 mois.

Au cours des 30 dernières années avant que les vaccins COVID-19 ne reçoivent l’autorisation d’utilisation d’urgence, le vaccin Gardasil de Merck, qui a été approuvé par la FDA en 2006, a enregistré le plus grand nombre de décès fœtaux après avoir été injecté à des femmes enceintes ou en âge de procréer, avec 563 décès enregistrés sur une période d’environ 14 ans.

En termes de classes de vaccins, les vaccins antigrippaux annuels ont enregistré 565 décès fœtaux au cours des 30 dernières années après avoir été injectés à des femmes enceintes et en âge de procréer, par rapport aux 4 023 décès fœtaux enregistrés au cours des 16 derniers mois après le COVID-1 où des vaccins expérimentaux ont été injectés aux femmes enceintes et aux femmes en âge de procréer.

Donc, juste en comparant les vaccins contre la grippe des 30 dernières années (360 mois) aux vaccins COVID-19 des 16 derniers mois, nous obtenons une moyenne de 1,5 décès fœtaux par mois après les vaccins contre la grippe, et une moyenne de 251 décès fœtaux par mois après les vaccins COVID-19.

Cela représente une augmentation de 16 633 % des décès fœtaux après les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins annuels contre la grippe.

Et pourtant, le CDC et la FDA continuent de recommander les vaccins COVID-19 pour les femmes enceintes.

Note de TAL : On croit rêver quand on voit ces chiffres qu’aucun media officiel ne transmet. La corruption généralisée des politiciens, du corps médical et des médias est devenue un véritable cancer qui menace la vie de nos pays soi-disant « civilisés »

Faisons circuler ces infos pour éveiller les consciences !

Le nouvel ordre mondial qui se prépare sous prétexte de guerre en Ukraine

Du site prepare for change

Par Thierry Meyssan,  Voltairenet.org 

Le conflit en Ukraine n’a pas été ouvert par la Russie le 24 février, mais par l’Ukraine une semaine auparavant. L’OSCE en est témoin. Ce conflit périphérique avait été planifié par Washington pour imposer un nouvel ordre mondial dont la Russie, puis la Chine, seraient exclues. Ne soyez pas dupe !

Les opérations militaires russes en Ukraine durent depuis plus d’un mois et les opérations de propagande de l’OTAN depuis un mois et demi.

Comme toujours, la propagande de guerre des Anglo-Saxons est coordonnée depuis Londres. Depuis la Première Guerre mondiale, les Britanniques ont acquis un savoir-faire inégalé. En 1914, elles avaient réussi à convaincre leur propre population que l’armée allemande avait perpétré des viols massifs en Belgique et qu’il était du devoir de chaque Britannique de venir au secours de ces pauvres femmes.

C’était une version plus propre de la tentative de Kaiser Wilhelm II de rivaliser avec l’empire colonial britannique. A la fin du conflit, la population britannique exige que les victimes soient indemnisées. Un recensement a été effectué et il a été constaté que les faits avaient été extraordinairement exagérés.

Cette fois, en 2022, les Britanniques ont réussi à convaincre les Européens que le 24 février les Russes avaient attaqué l’Ukraine pour l’envahir et l’annexer. Moscou tentait de reconstituer l’Union soviétique et se préparait à attaquer successivement toutes ses anciennes possessions. Cette version est plus honorable pour l’Occident que d’évoquer le « piège de Thucydide » – j’y reviendrai.

En réalité, les troupes de Kiev ont attaqué leur propre population dans le Donbass dans l’après-midi du 17 février.

blog60c

Nombre d’explosions enregistrées dans le Donbass (14-22 février 2022)

Puis l’Ukraine a agité un chiffon rouge devant le taureau russe avec le discours du président Zelensky aux dirigeants politiques et militaires de l’OTAN réunis à Munich, au cours duquel il a annoncé que son pays allait se doter de l’arme nucléaire pour se protéger de la Russie.

Vous ne me croyez pas ? Voici les relevés de l’OSCE depuis la frontière du Donbass. Il n’y avait pas eu de combats depuis des mois, mais les observateurs de l’organisation neutre ont observé 1 400 explosions par jour dès l’après-midi du 17 février. plus de 100 000 civils pour les protéger. La plupart se sont retirés à l’intérieur du Donbass, d’autres ont fui vers la Russie.

En 2014 et 2015, lorsqu’une guerre civile avait opposé Kiev à Donestk et à Lougansk, les dégâts matériels et humains n’étaient qu’une affaire intérieure de l’Ukraine.

Cependant, au fil du temps, presque toute la population ukrainienne du Donbass a envisagé d’émigrer et a acquis la double nationalité russe. Par conséquent, l’attaque de Kiev contre la population du Donbass le 17 février était une attaque contre les citoyens ukraino-russes. Moscou est venue à leur secours, en urgence, dès le 24 février.

La chronologie est incontestable. Ce n’était pas Moscou qui voulait cette guerre, mais Kiev, malgré le prix prévisible qu’elle aurait à payer. Le président Zelensky  a délibérément mis son peuple en danger et porte seul la responsabilité de ce qu’il endure aujourd’hui.

Pourquoi a-t-il fait ça ? Depuis le début de son mandat, Volodymyr Zelenskyy a poursuivi le soutien de l’État ukrainien, commencé avec son prédécesseur Petro Porochenko, aux détournements de fonds par ses sponsors américains et aux extrémistes de son pays, les banderistes. Le président Poutine a qualifié les premiers de “bande de toxicomanes” et les seconds de “bande de néo-nazis” [1].

Non seulement Volodymyr Zelensky a déclaré publiquement qu’il ne voulait pas résoudre le conflit du Donbass en appliquant les accords de Minsk, mais il a interdit à ses concitoyens de parler russe dans les écoles et les administrations et, pire, a signé une loi raciale le 1er juillet 2021. , excluant de facto les Ukrainiens revendiquant leur origine slave de la jouissance des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

L’armée russe a d’abord envahi le territoire ukrainien, non pas depuis le Donbass, mais depuis la Biélorussie et la Crimée. Il a détruit toutes les installations militaires ukrainiennes utilisées par l’OTAN pendant des années et a combattu les régiments de bandits. Il se consacre désormais à les anéantir dans l’est du pays. Les propagandistes de Londres et leurs près de 150 agences de communication à travers le monde nous assurent que, repoussée par la glorieuse Résistance ukrainienne, l’armée russe vaincue a renoncé à son objectif initial de prendre Kiev.

Cependant, jamais, absolument jamais, le président Poutine n’a dit que la Russie prendrait Kiev, renverserait le président élu Zelensky et occuperait son pays. Au contraire, il a toujours dit que ses objectifs de guerre étaient de dénazifier l’Ukraine et d’éliminer les stocks d’armes étrangères (OTAN). C’est exactement ce qu’il fait.

La population ukrainienne souffre. On découvre que la guerre est cruelle, qu’elle tue toujours des innocents. Aujourd’hui, nous sommes submergés par nos émotions et, ignorant l’attaque ukrainienne du 17 février, nous accusons les Russes, que nous appelons à tort « les agresseurs ». Nous n’éprouvons pas la même compassion pour les victimes de la guerre simultanée au Yémen, ses 200 000 morts, dont 85 000 enfants, morts de faim. Mais il est vrai que les Yéménites ne sont, aux yeux de l’Occident, « que des Arabes ».

Le fait de souffrir ne doit pas être interprété a priori comme la preuve que l’on a raison. Les criminels souffrent comme les innocents.

Comment une telle manipulation du tribunal est-elle possible ? [2] L’Ukraine a évoqué le fait que le président Poutine, lors de son discours sur l’opération militaire russe, a déclaré que les habitants du Donbass étaient victimes d’un « génocide ».

Elle a donc nié ce “génocide” et accusé la Russie d’avoir utilisé cet argument de manière abusive. En droit international, le mot « génocide » ne désigne plus l’éradication d’un groupe ethnique, mais un massacre ordonné par un gouvernement. Au cours des huit dernières années, entre 13 000 et 22 000 civils ont été tués dans le Donbass, selon que l’on se réfère aux statistiques gouvernementales ukrainiennes ou russes.

La Russie, qui avait envoyé son plaidoyer par écrit, fait valoir qu’elle ne s’appuie pas sur la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, mais sur l’article 51 de la Charte des Nations unies, qui autorise la guerre en état de légitime défense, comme le président Poutine l’avait explicitement déclaré dans son discours. Le Tribunal n’a pas tenté de vérifier quoi que ce soit. Il s’en est tenu au déni ukrainien. Elle a donc conclu que la Russie avait indûment utilisé la Convention comme argument.

De plus, la Russie n’estimant pas nécessaire d’être physiquement représentée à la Cour, la Cour a profité de son absence pour imposer une mesure provisoire aberrante. La Russie, sûre de son bon droit, a refusé d’obtempérer et réclame un jugement au fond, qui ne sera pas rendu avant fin septembre.

Ceci étant dit, on ne peut comprendre la duplicité de l’Occident qu’en replaçant les événements dans leur contexte. Depuis une décennie, les politologues américains nous disent que la montée de la Russie et de la Chine conduira à une guerre inévitable. Le politologue Graham Allison a créé le concept du « piège Thucydide » [3].

Il faisait référence aux guerres du Péloponnèse qui opposèrent Sparte et Athènes au IVe siècle avant J. . L’analogie est parlante, mais fausse : alors que Sparte et Athènes étaient des villes grecques proches, les États-Unis, la Russie et la Chine n’ont pas la même culture.

La Chine, par exemple, rejette la proposition du président Biden pour la concurrence commerciale. Au lieu de cela, il a la tradition opposée du “gagnant-gagnant”. Ce faisant, il ne fait pas référence à des contrats commerciaux mutuellement avantageux, mais à son histoire. « L’Empire du Milieu » a une population extrêmement nombreuse. L’empereur est contraint de déléguer son autorité au maximum. Aujourd’hui encore, la Chine est le pays le plus décentralisé du monde.

Lorsqu’il a publié un décret, cela a eu des conséquences pratiques dans certaines provinces, mais pas dans toutes. L’empereur devait donc s’assurer que chaque gouverneur local ne considérerait pas son décret comme non pertinent et oublierait son autorité. Il a ensuite offert une compensation à ceux qui n’étaient pas concernés par le décret afin qu’ils se sentent toujours soumis à son autorité.

Depuis le début de la crise ukrainienne, la Chine a non seulement adopté une position non alignée, mais a protégé son allié russe au Conseil de sécurité de l’ONU. Les États-Unis ont craint à tort que Pékin envoie des armes à Moscou.

Cela n’a jamais été le cas, même s’il existe une aide logistique sous forme de repas préparés pour les soldats, par exemple. La Chine observe comment les choses se passent et en déduit comment elles se passeront lorsqu’elle tentera de récupérer la province rebelle de Taiwan.

Pékin a gentiment décliné les offres de Washington. Elle pense à long terme et sait par expérience que si elle laisse détruire la Russie, elle sera à nouveau pillée par l’Occident. Son salut n’est possible qu’avec la Russie, même si elle doit un jour la défier en Sibérie.

Revenons au piège de Thucydide. La Russie sait que les États-Unis veulent l’effacer de la scène. Il anticipe une possible invasion/destruction. Mais son territoire est immense et sa population insuffisamment nombreuse. Il ne peut pas défendre ses frontières trop larges. Depuis le XIXe siècle, elle a imaginé se défendre en se cachant de ses adversaires.

Lorsque Napoléon, puis Hitler, l’ont attaquée, elle a déplacé sa population de plus en plus à l’est. Et il a brûlé ses propres villes avant l’arrivée de l’envahisseur. Ce dernier se trouva dans l’impossibilité de ravitailler ses troupes. Il a dû affronter l’hiver sans moyens et, finalement, battre en retraite. Cette stratégie de la « terre brûlée » n’a fonctionné que parce que ni Napoléon ni Hitler n’avaient de bases logistiques à proximité. La Russie moderne sait qu’elle ne peut pas survivre si les armes américaines sont stockées en Europe centrale et orientale.

C’est pourquoi, à la fin de l’Union soviétique, la Russie a exigé que l’OTAN ne s’étende jamais vers l’Est. Le président français François Mitterrand et le chancelier allemand Helmut Köhl, qui connaissaient l’histoire, ont exigé que l’Occident prenne cet engagement. Au moment de la réunification allemande, ils ont rédigé et signé un traité garantissant que l’OTAN ne franchirait jamais la ligne Oder-Neisse, la frontière germano-polonaise. La Russie a gravé cet engagement dans le marbre en 1999 et en 2010 avec les déclarations de l’OSCE à Istanbul et à Astana. Mais les États-Unis l’ont violé en 1999 (adhésion de la République tchèque, de la Hongrie et de la Pologne à l’Otan), en 2004 (Bulgarie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Roumanie, Slovaquie et Slovénie), en 2009 (Albanie et Croatie), en 2017 (Monténégro), puis en 2020 (Macédoine du Nord).

Le problème n’est pas que tous ces États se sont alliés à Washington, mais qu’ils ont stocké des armes américaines chez eux. Personne ne reproche à ces États d’avoir choisi leurs alliés, mais Moscou leur reproche de servir de base arrière au Pentagone en vue d’une attaque de la Russie.

En octobre 2021, la straussienne Victoria Nuland [4], numéro 2 du département d’État, est venue à Moscou pour exhorter la Russie à accepter le déploiement d’armes américaines en Europe centrale et orientale. Elle a promis que Washington investirait en Russie en retour. Puis elle a menacé la Russie si elle n’acceptait pas son offre et a conclu qu’il ferait juger le président Poutine devant un tribunal international.

Moscou a répondu par une proposition de traité garantissant la paix sur la base du respect de la Charte des Nations unies le 17 décembre. C’est ce qui a provoqué la tempête actuelle. Le respect de la Charte, qui repose sur le principe de l’égalité et de la souveraineté des États, implique de réformer l’OTAN, dont le fonctionnement repose sur une hiérarchie entre ses membres. Pris dans le «piège de Thucydide», les États-Unis ont alors fomenté la guerre actuelle en Ukraine.

Si l’on admet que leur objectif est de sortir la Russie de la scène internationale, la manière dont les Anglo-Saxons réagissent à la crise ukrainienne devient claire. Ils ne cherchent pas à repousser militairement l’armée russe, ni à embarrasser le gouvernement russe, mais à effacer toute trace de la culture russe en Occident. Et deuxièmement, ils essaient d’affaiblir l’Union européenne.

Ils ont commencé par le gel des avoirs des oligarques russes en Occident, une mesure applaudie par la population russe, qui les considère comme des bénéficiaires illégitimes du pillage de l’URSS. Puis ils ont imposé aux entreprises occidentales de cesser leurs activités avec la Russie.

Enfin, ils ont continué en coupant l’accès des banques russes aux banques occidentales (système SWIFT). Or, si ces mesures financières ont été désastreuses pour les banques russes (mais pas pour le gouvernement russe), les mesures contre les entreprises travaillant en Russie sont au contraire favorables à la Russie qui récupère ses investissements à moindre coût.

Par ailleurs, la Bourse de Moscou, qui avait été fermée du 25 février (au lendemain de la riposte russe) au 24 mars, a enregistré une hausse dès sa réouverture. L’indice RTS a chuté de 4,26% le premier jour, mais il mesure principalement des actions spéculatives, tandis que l’indice IMOEX, qui mesure l’activité économique nationale, a augmenté de 4,43%. Les vrais perdants des mesures occidentales sont les membres de l’Union européenne qui ont eu la bêtise de les prendre.

Déjà en 1991, le straussien Paul Wolfowitz écrivait dans un rapport officiel que les USA devaient empêcher une puissance de se développer au point de lui faire concurrence. À l’époque, l’URSS était en lambeaux. Il a donc désigné l’Union européenne comme le rival potentiel à détruire [5].

C’est exactement ce qu’il a fait en 2003, quand, en tant que numéro 2 du Pentagone, il a interdit à l’Allemagne et à la France de participer à la reconstruction de l’Irak [6]. C’est aussi ce dont parlait Victoria Nuland en 2014 lorsqu’elle ordonnait à son ambassadeur américain à Kiev de « baiser l’Union européenne » (sic) [7].

L’Union européenne a désormais reçu l’ordre d’arrêter ses importations d’hydrocarbures russes. S’il obéit à cette injonction, l’Allemagne sera ruinée et avec elle toute l’Union. Ce ne sera pas un dommage collatéral, mais le fruit d’une réflexion structurée, clairement exprimée depuis trente ans.

La chose la plus importante pour Washington est d’exclure la Russie de toutes les organisations internationales. Elle est déjà parvenue, en 2014, à l’exclure du G8. Le prétexte n’était pas l’indépendance de la Crimée (qu’elle réclamait depuis la dissolution de l’URSS, quelques mois avant que l’Ukraine ne pense à sa propre indépendance), mais son appartenance à la Fédération de Russie.

L’agression présumée de l’Ukraine fournit un prétexte pour l’exclure du G20. La Chine a immédiatement souligné que personne ne pouvait être exclu d’un forum informel sans constitution. Pourtant, le président Biden est revenu à la charge les 24 et 25 mars en Europe.

Washington multiplie les contacts pour exclure la Russie de l’Organisation mondiale du commerce. En tout état de cause, les principes de l’OMC sont sapés par les « sanctions » unilatérales mises en œuvre par l’Occident. Une telle décision serait préjudiciable aux deux parties. C’est là qu’interviennent les écrits de Paul Wolfowitz.

Il écrivait en 1991 que Washington ne devait pas chercher à être le meilleur dans ce qu’il faisait, mais à être le premier par rapport aux autres. Cela implique, a-t-il noté, que pour maintenir leur hégémonie, les Etats-Unis ne doivent pas hésiter à se faire du mal, s’ils en font beaucoup plus aux autres. Nous paierons tous le prix de cette façon de penser.

La chose la plus importante pour les Straussiens est d’exclure la Russie des Nations Unies. Ce n’est pas possible si l’on respecte la charte de l’ONU, mais Washington ne s’en souciera pas plus qu’ailleurs. Il a déjà contacté tous les États membres de l’ONU à quelques exceptions près.

La propagande anglo-saxonne a déjà réussi à leur faire croire qu’un membre du Conseil de sécurité s’est lancé dans une guerre de conquête contre l’un de ses voisins. Si Washington réussit à convoquer une Assemblée générale spéciale de l’ONU et à modifier les statuts, il réussira.

Une sorte d’hystérie s’est emparée de l’Occident. Tout ce qui est russe est traqué sans penser à ses liens avec la crise ukrainienne. Il est interdit aux artistes russes de se produire même s’ils sont connus pour être opposés au président Poutine.

Ici une université interdit l’étude du héros anti-soviétique Soljenitsyne de leur cursus, là une autre interdit l’écrivain de débat et de libre arbitre Dostoïevski (1821-1881) qui s’opposait au régime tsariste. Ici un chef est déprogrammé parce qu’il est russe et là Tchaïkovski (1840-1893) est retiré du répertoire.

Tout ce qui est russe doit disparaître de notre conscience, tout comme l’Empire romain a rasé Carthage et détruit méthodiquement toute trace de son existence, au point qu’aujourd’hui nous savons peu de choses sur cette civilisation.

Le 21 mars, le président Biden n’a pas caché le fait. Devant un parterre de chefs d’entreprise, il a déclaré :

“C’est le moment où les choses changent. Il va y avoir un  nouvel ordre mondial  et nous devons le diriger. Et nous devons unir le reste du monde libre pour le faire » [8].

Le Premier ministre ukrainien dit à haute voix :  « Nous ne nous battons pas seulement pour l’Ukraine, nous nous battons pour ce nouvel ordre mondial ».

Ce nouvel ordre [9] devrait couper le monde en deux blocs hermétiques ; une coupure telle que nous n’en avons jamais connue, sans comparaison avec le rideau de fer de la guerre froide.

Certains Etats, comme la Pologne, estiment qu’ils peuvent perdre beaucoup comme les autres, mais aussi gagner un peu. Ainsi, le général Waldemar Skrzypczak vient d’exiger que l’enclave russe de Kaliningrad devienne polonaise [10].

En effet, une fois le monde coupé, comment Moscou pourra-t-elle communiquer avec ce territoire ?

1 ]  Voir le neuvième article de cette série : « Une bande de toxicomanes et de néo-nazis », 5 mars 2022.

2 ]  « Allégation de génocide en vertu de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide », Ordonnance, Cour internationale de Justice, 16 mars 2022.

3 ]  « Le piège de Thucydide : les États-Unis et la Chine se dirigent-ils vers la guerre ? “, Graham T. Alllison, The Atlantic, 24 septembre 2005. Destiné à la guerre : l’Amérique et la Chine peuvent-elles échapper au piège de Thucydide ?, Graham T. Allison, Mariner Books ; (2017).

4 ]  Pour ce que sont les Straussiens, voir le huitième article de cette série, « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.

5 ]  Ce document a été révélé dans « US Strategy Plan Calls For Insuring No Rivals Develop », Patrick E. Tyler, New York Times, 8 mars 1992. Voir aussi les extraits publiés en page 14 : « Extracts from Pentagon’s Plan : ‘ Empêcher la réémergence d’un nouveau rival’ ». Des informations supplémentaires sont fournies dans “Keeping the US First, Pentagon Would Preclude a Rival Superpower” Barton Gellman, The Washington Post, 11 mars 1992.

6 ]  «  Instructions et conclusions sur les marchés de reconstruction et d’aide en Irak  », par Paul Wolfowitz, Réseau Voltaire, 10 décembre 2003.

7 ]  « Et si vous vous excusiez auprès de l’Ukraine, Mme Nuland ? », par Andrey Fomin, Oriental Review (Russie) , Réseau Voltaire, 7 février 2014.

8 ]  « Remarks by President Biden Before Business Roundtable’s CEO Quarterly Meeting », Maison Blanche, 21 mars 2022.

9 ]  «  Histoire du “Nouvel ordre mondial”  », par Pierre Hillard, Réseau Voltaire, 21 février 2010. « Le plan pour un nouvel ordre mondial bute sur les réalités géopolitiques », par Imad Fawzi Shueibi, Traduction Roger Lagassé, Réseau Voltaire, 17 août 2012.

10 ]  « La Pologne revendique Kaliningrad », Réseau Voltaire, 27 mars 2022.

Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que « la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ». Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.

par Les coeurs unis Magazine

La vaccination Covid : un marquage de « type bétail » pour prendre le contrôle de nos vies

blog60d

Quelle coïncidence ! Il se trouve que Bill Gates – l’ami de Seth Berkley – qui siège également au conseil d’administration de GAVI et du CEPI, les deux mamelles de la politique mondiale de vaccination avec en toile de fond l’OMS et l’industrie pharmaceutique – dispose déjà de cet outil dans sa besace.

[Voir aussi : Dossier Implants numériques]

Certains l’ont déjà oublié mais en 2019, le soi-disant philanthrope avait déjà testé son dispositif dans deux pays d’Afrique, le Kenya et le Malawi où les gouvernements sont moins regardant sur les questions d’éthique. Avant l’épidémie de Covid, Bill Gates testait déjà cette innovation technologique avec la collaboration du MIT, il l’a donc financée des années avant. Voici que cette innovation va maintenant servir pour marquer la population mondiale.

La numérisation des carnets de vaccination

Une vidéo de 2 minutes nous explique la suite, c’est-à-dire l’agenda tel qu’il va être maintenant déroulé et auquel collabore – plutôt avec zèle – le transhumaniste Macron.

« En fournissant à chaque enfant une identité biométrique numérique, GAVI double ses efforts en devenant membre fondateur d’ID 2020, un partenariat public privé (Microsoft et GAVI sont parties prenantes) qui a évolué vers l’essor de l’identité biométrique numérique mondiale.

Ce vaccin peut être administré à l’aide d’un patch soluble via un réseau de micro-aiguilles solubles qui délivre un motif de microparticules sur la peau émettant de la lumière dans l’infrarouge proche de la peau (du point de vaccination). Elles délivrent une marque de particules sur la peau des vaccinés qui sont invisibles à l’œil nu mais sui peuvent être visualisés à l’aide de smartphones équipés (lecteur). Quelque chose comme un code barre tatoué.

Kevin McHugh, professeur assistant en bioingénieurie à la faculté de Rice (USA) et cocréateur du marquage sous cutané des vaccins financés par Gates déclare : « La fondation Bill et Melinda Gates est venue nous voir et nous a dit : Hé, nous avons un vrai problème pour savoir qui est vacciné (…) donc notre idée était de mettre le marquage sur la personne ». Ce sera un marqueur numérique lié à une identification biométrique. Bien sûr, cette petite équipe ne s’est pas embarrassée de savoir si marquer les êtres humains comme du bétail pouvait poser un problème éthique.

Un système de contrôle liberticide pensé depuis de nombreuses années

Bill Gates s’exprime dans la même vidéo (cf. supra) : « Par la suite nous devrons avoir un certificat garantissant le rétablissement ou la vaccination des personnes ». C’est actuellement mis en œuvre par un certain nombre de gouvernements. Onfido – dans laquelle Miscrosoft a investi en 2017 – propose déjà une application à l’aide d’une reconnaissance faciale et d’autres données biométriques reliant ces informations à un test d’anticorps Sars-Cov 2 ou à une preuve de vaccination contre le coronavirus.

Les citoyens vaccinés peuvent ensuite se faire prendre en photo pour prouver leur immunité à chaque fois qu’ils souhaitent accéder à un espace restrictif (c’est à dire réglementé par les autorités publiques comme en Chine dès qu’on veut sortir de chez soi).

En 2012, la Fondation Bill et Melinda Gates (encore et toujours) a aidé à fonder la Better Than Cash Alliance – dans laquelle on retrouve le système des Nations-Unies, l’USAID et la BERD – afin d’accélérer la transition vers les paiements numériques à l’échelle mondiale. Ils travaillent à un basculement du monde vers un système de paiement numérique lié à l’identité biométrique.

La vidéo conclue sur les différents niveaux de contrôle de la population qui s’emboitent comme les pièces d’un puzzle et qui sont conduits simultanément en les justifiant sous des motifs fallacieux, que les populations acquiesceront… ou pas.

Le vaccin n’est pas fait pour Covid mais Covid pour vacciner la population mondiale

La campagne de vaccination est liée à la campagne d’identification biométrique (numérique) qui est elle-même liée à la campagne de numérisation de la monnaie et à la disparition programmée de la monnaie papier.

Gates et ses partenaires gouvernementaux, conduits par McKinsey dont Macron est un fervent consommateur – car c’est eux qui donnent les instructions du Great Reset comme s’ils étaient indépendants – imposeront les vaccins aux populations afin que nos données biométriques soient saisies et enregistrées au niveau national, associées à une identité numérique puis intégrées à un réseau mondial.

Ces identités numériques seront liées à toutes les actions et transactions. Ces dernières pourront être jugées illégales par ceux qui les contrôlent – nos gouvernements – et bloquer toute transaction financière. Ceux qui ne se conformeront pas à la doxa, ne pourront plus ni acheter ni vendre.  

Chaque transaction et mouvement de chaque citoyen seront analysés en permanence et les données enregistrées en temps réel sur des super ordinateurs. Si les citoyens ne s’y opposent pas fermement, tout sera sous contrôle de ceux qui prendront nos vies : un système d’identification biométrique lié à une infrastructure de paiement numérique sera utilisé pour suivre, cataloguer et contrôler chaque mouvement, chaque transaction et chaque interaction des citoyens. Pour cela une micropuce biométrique sera injectée dans le corps et servira de passe identitaire, de passe sanitaire, de moyen de paiement numérique…seul autorisé.

La vaccination Covid : un marquage de « type bétail » pour prendre le contrôle de nos vies

Pour conclure, ne manquez pas la vidéo de Frédéric CHAUMONT Fumisterie !  sur www.verite-covid19.fr

EN TOUTE FRATERNITE

Tal SCHALLER

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